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Portrait de la jeune fille en feu : Une fresque savamment construite

  • avril 14, 2020
  • 1.2K vues
  • 2 minutes de lecture
  • Coralie Laplante
Le Devoir/SOURCE
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C’est un tableau aux multiples nuances que nous offre Céline Sciamma dans son dernier long-métrage Portrait de la jeune fille en feu, paru dans nos cinémas en février 2020, et tout récemment disponible en location. Ce film d’époque d’une troublante contemporanéité brise les conventions, notamment par son scénario résolument féministe et inclusif.

Portrait de la jeune fille en feu, c’est l’histoire de Marianne (Noémie Merlant), une peintre chargée de se faire passer pour la dame de compagnie d’Héloïse (Adèle Haenel), une jeune bourgeoise que sa famille a promise en mariage. Héloïse refusant de poser pour effectuer un portait destiné à son futur époux, Marianne a été désignée à la mission ardue de l’observer pour réaliser l’œuvre en secret. Une relation amoureuse construite en toute subtilité se développera cependant entre les deux personnages.

« Il faut réfléchir à comment on filme des femmes en sujets plutôt que comme des objets »[1], a énoncé Céline Sciamma. La réalisatrice est passée de la parole aux actes dans son long-métrage, en dépeignant des personnages féminins forts. Même si les protagonistes évoluent dans la Bretagne de 1770, elles brisent les normes de leur époque.

La cinéaste a veillé à élaborer une histoire d’amour égalitaire, et aborde sans tabous des sujets tels que l’homosexualité et l’avortement. Mais surtout, elle n’inclut aucun personnage masculin au sein du film. Un constat qui déstabilise et ravit le spectateur, étant expulsé hors des clichés.

La Presse/SOURCE

Céline Sciamma souhaitait également rendre hommage aux femmes peintres oubliées par l’histoire, sans pour autant tomber dans la biographie : « Je me suis dit qu’il fallait en inventer une pour pouvoir les raconter toutes »[2], a-t-elle énoncé. L’esthétisme du film est d’ailleurs splendide, à la manière d’une œuvre d’art.

Portrait de la jeune fille en feu est un film puissant par son histoire pure qui sait toucher universellement. Le long-métrage récompensé par la palme du meilleur scénario au Festival de Cannes est une toile d’une grande beauté, qui transporte tout en douceur les curieux qui osent y poser les yeux.

Sources:

[1] Paris Match

[2] La Presse

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